OneFagAndTwoApricots
Tel est pris qui croyait prendre.
Vendredi 16 juillet 2010 à 10:27
Deux heures où il n'y avait que mon père et moi dans les rues de Paris. Il m'a montré de vieux endroits que j'avais oublié, des passages un peu secret comme quand j'étais gosse -encore plus que maintenant. Et puis j'ai parlé de l'Amérique avec de l'immaturité dans la voix pour cacher la complicité qui se créait entre nous.
Et puis j'ai eu envie de l'appeler Papa, ça faisait drôlement longtemps. C'était joli, même si nos orgueils et nos fiertés similaires nous empêchaient tout contact physique.
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